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Mes dernières chroniques

Mes dernières chroniques

Couverture Bloodlines, tome 5   Couverture Divergent / Divergente / Divergence, tome 3 : Allégeance   Couverture Divergent / Divergente / Divergence, tome 2 : Insurgés      Couverture La 5e vague, tome 1   Couverture Les Vampires de Manhattan, tome 7 : Les Portes du paradis    

samedi 15 décembre 2012

Petit break+The indigo spell:)

Un petit message pour dire que je vais un peu suspendre l'activite du blog jusqu'en janvier à cause du blocus, mais je passerai quand même sur facebook de temps à autre! Mais avant cette petite pause pour ne pas changer les bonnes habitudes, un extrait du tome 3 de Bloodlines, qui vient d'arriver: Adrian qui donne des cours de séduction à Sydney^^<3

From Chapter 15 of The Indigo Spell


Adrian looked over at me again. “Who knows more about male weakness: you or me?”

“Go on.” I refused to directly answer the question.

“Get a new dress. One that shows a lot of skin. Short. Strapless. Maybe a push-up bra too.” He actually had the audacity to do a quick assessment of my chest. “Eh, maybe not. But definitely some high heels.”

“Adrian,” I exclaimed. “You’ve seen how Alchemists dress. Do you think I can really wear something like?”

He was unconcerned. “You’ll make it work. You’ll change clothes or something. But I’m telling you, if you want to get a guy to do something that might be difficult, then the best way is to distract him so that he can’t devote his full brainpower to the consequences.”

“You don’t have a lot of faith in your own gender.”

“Hey, I’m telling you the truth. I’ve been distracted by sexy dresses a lot.”

I didn’t really know if that was a valid argument, seeing as Adrian was distracted by a lot of things. Fondue. T-shirts. Kittens. “And so, what then? I show some skin, and the world is mine?”

“That’ll help.” Amazingly, I could tell he was dead serious. “And you’ve gotta act confident the whole time, like it’s already a done deal. Then make sure when you’re actually asking for what you want that you tell him you’d be ‘so, so grateful.’ But don’t elaborate. His imagination will do half the work for you. ”

I shook my head, glad we’d almost reached our destination. I didn’t know how much more I could listen to. “This is the most ridiculous advice I’ve ever heard. It’s also kind of sexist too, but I can’t decide who it offends more, men or women.”

“Look, Sage. I don’t know much about chemistry or computer hacking or photosynthery, but this is something I’ve got a lot of experience with.” I think he meant photosynthesis, but I didn’t correct him. “Use my knowledge. Don’t let it go to waste.”


Rhooo mais qu'est ce que je suis fan!<3
source!

lundi 26 novembre 2012

Noblesse oblige, tome 3 : Le comte mis à nu (Sally MacKenzie)


J’avais entendu beaucoup de bien de cette série, du coup quand j’ai eu la possibilité d’acheter ce tome d’occasion, je me suis dit « Pourquoi pas ? ».  Et puis après Bloodlines j’avais besoin d’une lecture pour me changer les idées et j’ai donc décidé de sortir ce bouquin. 
Robert Hamilton, Compte de Westbrooke est obligé de fuir nu par la fenêtre de sa chambre pour échapper à Lady Felicity.  En effet la jeune femme, prête à tout pour épouser le Compte, n’avait pas hésité à se faufiler dans son lit.  Ainsi compromise, Westbrooke serait obligé de l’épouser.  Mais c’est sans compter la ténacité du Compte, qui n’hésite donc pas à sauter par la fenêtre pour lui échapper.  Il se retrouve finalement dans la chambre de Lady Elizabeth, la sœur de son meilleur ami James, Duc d’Alvord.  Elizabeth qui est également nue et avec ça légèrement pompette. 
Même si c’est une saga, les tomes peuvent se lire séparément.  En tout cas pour ma part je n’ai eu aucun problème à comprendre l’histoire, alors que je n’ai lu ni le tome 1, ni le tome 2. 
Comme le laisse penser le résumé, le début commence fort, vraiment quand je l’ai entamé je me suis dit « non mais dans quoi je suis tombée ?! ».  Ce début qui démarre sur les chapeaux de roue m’a donc bien plu, et donne le ton du roman.  Pourtant à un moment j’ai tout de même fini par trouver que c’était un peu trop, je m’attendais à des situations loufoques mais parfois c’est vraiment extrême…Du coup si certaines situations m’ont vraiment fait rire, vraiment on rigole souvent avec ce petit bouquin, il y en a malgré tout d’autres où je me suis dit que l’auteur allait un peu trop loin, que c’était un peu trop surréaliste. 
J’ai bien aimé les personnages, même si je ne les ai pas adorés, ils restent fort sympathiques ! Lizzie est éperdument amoureuse de Robbie depuis qu’elle est toute petite, et a éconduit toute une liste de prétendants en espérant qu’il la demandera en mariage un jour.  Pour une demoiselle de cette époque, elle est vraiment entreprenante.  Elle qui veut être « audacieuse », il n’y a pas de doutes : elle l’est, et ça la met souvent dans des situations cocasses mais parfois aussi très délicates.  Quand à Robert, même si j’ai trouvé qu’il aurait quand même dû se bouger les fesses un peu plus tôt, il est difficile de ne pas compatir quand on connaît le « problème » qui gâche sa vie.  Mais la romance qu’il y a entre eux est plutôt mignonne. 
Le style de l’auteur m’a vraiment plu, je trouve que c’est le gros point fort du bouquin, j’ai rigolé tout du long en voyant toutes les situations délirantes dans lesquelles se mettaient les personnages, leurs échanges, les piques qu’ils se lancent.  On a droit à tout un tas de personnages ici.  Et chacun d’eux a une facette parfois stéréotypée, mais tout de même très drôle.  Entre Mrs Dunlee la plus grande commère de Londres, Lady Bea la chaperonne de 60 ans d’Elizabeth, qui est plutôt relax pour une chaperonne, qui a des répliques trop drôles et qui n’hésite pas à aborder les sujets délicats, ou encore Felicity : la demoiselle prête à tout, mais alors là à TOUT, pour obtenir son Compte,…elle est détestable juste comme il faut et ses plans pour capturer Robert dans ses filets complètement dingues.  On a aussi Mr Tynweith et ses jardins excentriques, cherchant par tous les moyens à séduire Charlotte, la « vierge de glace », qui s’est mariée à un duc de 80 ans juste pour le titre. 
Couverture Noblesse oblige, tome 3 : Le comte mis à nuOn a d’ailleurs en parallèle à l’histoire principale, une histoire secondaire sur ce plan de séduction que met en place Tynweith pour séduire Charlotte.  J’ai beaucoup aimé que l’on passe d’un point de vue (celui de Lizzie, Robbie, Tynweith et Charlotte) à l’autre.Ca permet de maintenir l’intérêt pour l’histoire intact.  Parce que tout de même, on ne peut pas dire que l’intrigue soit terrible terrible, mais bon je m’y attendais donc ça ne m’a pas tellement dérangé.  Par contre ce qui m’a un peu surprise, c’est que ce bouquin est quand même une vaste partie de jambe en l’air, on a vraiment l’impression qu’ils ne peuvent pas se retenir de se jeter l’un sur l’autre, que l’auteur se concentre plus sur ça que sur l’intrigue qu’elle met en place. 

En conclusion, malgré quelques points négatifs, j’ai dans l’ensemble plutôt bien aimé cette lecture, j’adore l’époque de ce genre de roman, l’ambiance, et avec le style de l’auteur ce sont les gros points fort du bouquin.  Du coup j’ai bien envie de découvrir l’histoire de  Sarrah et de James, le frère de Lizzie.  A voir si je le déniche en bibliothèque donc !

jeudi 22 novembre 2012

Bloodlines, tome 1 (Richelle Mead)


Couverture Bloodlines, tome 1Ouiiiiiiii JE L’AIIIIIII<33333
Enfin, après un mois, j’ai finalement décidé d’aller l’acheter^^ En effet j’avais fait des bonds jusqu’au plafond quand j’ai vu que j’avais remporté Bloodlines chez Vampire Academy France (que je remercie malgré tout :p), mais j’ai vite déchanté parce que après 2 semaines, il n’était toujours pas arrivé.  A partir de ce moment j’ai vraiment commencé à stresser et je suis devenue plutôt difficile à vivre, faut vous imaginer, c’est LE bouquin que j’attendais depuis 9 mois ! ;) C’est à ce moment que mon petit frère (que j’ai converti aux VA, il va commencer le 6 !) m’a sorti qu’il arriverait jeudi.  Comme il en avait l’air vraiment sûr, j’en ai conclu qu’il savait quelque chose, n’importe quoi, et qu’il disait la vérité.  J’étais vraiment désespérée à ce moment-là^^.  Au final, jeudi bien sûr, il n’est pas arrivé, ni le vendredi, ni le lundi qui a suivi...Je n’ai plus parlé à mon frère pendant 36 heures d’affilée ;) J’ai donc finalement décidé que s’il n’arrivait pas avant vendredi, j’irai l’acheter ! Ce que j’ai fait et sitôt acheté…sitôt fini :p  Bon voilà pour mes petites mésaventures, passons maintenant au plus important : Bloodlines<3

J’étais certaine avant de le commencer que je n’arriverais pas à être objective avec ce bouquin, parce que si vous ne l’avez pas encore compris…j’ai adoré VA !  Du coup Richelle pourrait presque écrire une histoire débile sur Rose, Lissa, Dimitri, Adrian, Sydney, Christian, Abe,…se baladant au centre commercial (ou toute activité farfelue dans le genre^^) que je la mettrais quand même en coup de cœur (bon j’ai dit presque hein !).  Puis après une grosse centaine de pages je me suis dit tient, si ça trouve, tu vas quand même arriver un sortir un avis objectif, vu que je repérais quand même quelques défauts.  Au final je dirais que je suis entre les deux vu que j’ai adoré Bloodlines et que je suis incapable de dire ce qui en aurait été si je ne connaissais pas VA. 

Quand je l’ai commencé, il a d’abord fallut s’habituer à tout voir à travers les yeux de Sydney, qui est une narratrice radicalement différente de Rose.  Ça fait un peu bizarre de tout voir à travers ses yeux à elle, comme Rose justement qu’on aperçoit un peu au début et qui est ensuite mentionnée quelques fois. C’est la première fois qu’on la voit à travers quelqu’un d’autre qu’elle-même ou que Lissa, mais ça fait plaisir de la revoir^^.  Et Abe a vraiment l’air d’un dangereux psychopathe à travers les yeux de Sydney ! (ce qu’il est un petit peu en fait, perso j’ai toujours trouvé qu’il ressemblait très légèrement à Victor^^)  En même temps, c’est aussi génial de redécouvrir le monde, les personnages, que l’on connaissait déjà, à travers un point du vue, une vision différente. 

Bon commençons par les points faibles : j’ai trouvé que l’ensemble (l’ensemble parce qu’il y a quand même un petit truc sur la fin que je n’avais pas vu venir), était assez prévisible.  Ce n’est pas l’intrigue qui m’a poussée à lire Bloodlines en 2 jours, et il n’y a pas des tas de rebondissements.  En même temps, je savais tout de même quelques éléments important à l’avance.  Je suis atteinte avec Vampire Academy, du syndrome de « comment se faire spoiler le mieux possible pour toutes les choses importantes ».  C’est horrible, je savais pour ce qui arrive à un des personnages à la fin du 2 (j’ai pas réussi à m’empêcher de feuilleter les dernières pages), pour ce qui se passait à la fin du 3 (là je crois que c’est à cause du résumé du 4 que j’avais pas non plus réussi à m’empêcher de lire), je savais pour le meurtrier dans le 6 (ça c’est moins de ma faute je cherchais un descriptif des personnages et il n’y avait pas de spoiler), et pour ce qu’il y a avec Adrian et Jill dans Bloodlines (ça non plus, je cherchais la couleur de cheveux de Jill et ça m’est tombé dessus comme ça aussi), je suis même au courant de certain trucs qui se passent dans The Golden Lily et j’ai déjà lu en diagonale le premier chapitre de The Indigo Spell.  Franchement je vous conseille de résister à la tentation parce que ça enlève quand même pas mal de plaisir à la lecture, mais je suis juste incapable de m’en empêcher, le grand objectif donc c’est de me débarrasser de cette addiction vraiment détestable J

Bon assez blablater (désolé pour tout ce blabla s’il y en a qui ont survécu jusqu’ici^^), passons aux points positifs :
Ce qui fait que j’aime (vénère) à ce point Richelle Mead, c’est qu’elle nous offre à chaque fois des personnages extrêmement (et le mot est faible) attachants.  Et j’ai l’impression que si dans VA, elle se concentrait surtout sur Rose, dans Bloodlines c’est Sydney mais aussi Adrian qui vont évoluer.  D’ailleurs Adrian sera narrateur avec Sydney dans le tome 4 (j’ai vraiment, vraiment trop hâte d’y être.  Même si actuellement le tome 2 n’est même pas encore prévu mais bon^^)
J’ai vraiment aimé Sydney ! Au début j’avais quelques doutes, mais au fil des pages ils ont complètement disparus.  Même si je préfère Rose, Sydney sait nous surprendre, et j’ai bien aimé l’avoir comme narratrice.  Et on pourrait croire que c’est Sydney qui aura le plus de mal à se mêler aux autres à Palm Springs, au final pas du tout.  Même si elle fait quelques gaffes, ça la rend touchante d’être parfois tellement à côté de la plaque, et elle évolue et réussit à s’adapter alors que quand on y pense elle n’avait jamais mis les pieds dans une école, n’a fréquenté quasiment personne de son âge, et surtout, elle n’a jamais joué au mini-golf !^^
Un aspect de Sydney dont je ne m’étais pas rendue compte dans VA et que l’on découvre dans Bloodlines, c’est cette aversion qu’elle a envers la magie.  Parce que même si c’est vrai qu’au début elle a du mal à fréquenter les « créatures obscures de la nuit », au final elle s’habitue quand même vite à eux.  Même si elle a du mal à se l’avouer, dormir, manger, rire, vivre avec des vampires, elle surmonte.  Mais s’ils se mettent à recourir à leurs magies, rien ne va plus.  Cette magie, quelque chose de purement irrationnel, sans une once de logique, la terrifie. Du coup vu la fin du tome 1, j’ai hâte de voir comment ça évoluera dans The Golden Lily.  Mais bien sur LE personnage que j’avais hâte de retrouver dans Bloodlines, c’est Adrian.  J’étais presque en train de pleurer pour lui dans le tome 6 de VA (enfin s’il m’arrivait de pleurer en lisant un livre mais ça ne m’arrive jamais, idem pour les films^^).  Du coup j’étais impatiente de lire Bloodlines pour voir ce qu’il devenait.  Et c’est clair que ce n’est pas la grande forme.  Mais j’ai adoré le retrouver, son caractère fantasque, ses piques, il me toujours autant rire, reste toujours, si même pas plus attachant.  Et pour moi le duo Sydney/Adrian est vraiment un des atouts du roman.  J’ai adoré, j’avais hâte de le découvrir, et il m’a totalement convaincue.  J’ai  vraiment, mais alors là vraiment hâte de lire le suivant pour le voir évoluer. 
J’ai également beaucoup aimé découvrir, ou redécouvrir, des personnages comme Eddie, Jill,..qui n’étaient pas si présent dans VA.  Jill est la colocataire de Sydney, et c’est pour assurer sa sécurité que tous se trouvent à Palm Springs, donc fatalement elle prend de l’importance.  Par contre il y a un truc que je n’ai vraiment pas pigé c’est pourquoi Adrian est passé de « Gamine » à « Fruit défendu ».  Mais le nouveau surnom me plaît aussi^^.  Il n’y a aucune explication dans le bouquin, donc est-ce que ça vient de la traduction, ou est-ce que c’est autre chose, aucune idée.  Et même si Eddie n’est pas très présent dans ce tome, totalement obsédé par la sécurité de Jill, se détendant rarement, j’espère que ce sera le cas dans le prochain tome. 
Pour les nouveaux personnages, j’ai beaucoup aimé Trey, et les deux amies de Sydney : Julia et Kristin.  A première vue on aurait pu croire que notre alchimiste allait avoir du mal à nouer des liens, et j’ai adoré la voir aller vers les gens, se faire des amis.  La voir créer des relations avec ceux qui l’entourent, qu’ils soient humains comme Trey, Kristin et Julia, Moroï comme Adrian et Jill, ou dhampir comme Eddie.  Ce n’est que le premier tome, mais on voit qu’elle commence déjà à évoluer, un tout début de remise en question, elle commence à revoir certaines de ses opinions, de ses idées préconçues qu’on lui a inculquées depuis qu’elle est née.  Comme on a Sydney comme narratrice, ça permet aussi de connaître des aspects de la vie des alchimistes qu’on ne connaissait pas.  Comme l’éducation qu’elle a reçue, l’attitude de son père m’a choquée, dans VA on savait que ce n’était pas formidable, mais là on voit qu’il dénigre vraiment Sydney, ainsi que ses sœurs. 
J’ai aussi trouvé que la fin était vraiment pas mal ! Même si comme je l’ai dit on voyait venir les choses à l’avance, ça n’empêche pas qu’elle est riche en émotion et quand on tourne la dernière page, tout ce qu’on veut c’est la suite !

Pour finir, je dirais que ce qui m’a aussi permis d’apprécier autant le roman, c’est que dans ma tête je m’étais préparée à ce que ça ne soit pas VA.  Je m’étais bien dit que ce serait différent, qu’on aurait une ambiance différente, que Sydney n’était pas Rose.  Au final, le challenge pour Richelle Mead sera de nous faire accrocher à cette saga, à ce nouveau personnage, aussi bien qu’avec Vampire Academy.  Et quand j’y réfléchi, le tome 1 de VA n’était pas si exceptionnel.  Même si c’est vrai que j’ai préféré le tome 1 de VA au tome 1 de Bloodlines, ma passion pour cette série a grandi au fil des tomes, c’est venu au fur et à mesure.  Au final, je suis quasiment persuadée qu’avec toutes les bases que l’auteur pose ici, elle peut nous offrir une saga aussi bien que celle qui a inspiré le spin-off.  Le tout est de ne pas avoir de trop grandes espérances.  Conclusion de tout cela : attendons le tome 3 pour être fixé haha^^

Donc je ne sais pas si je peux faire de Bloodlines un coup de cœur, j’aurais tendance à dire OUIIII mais bon je réalise bien que je manque d’objectivité<3 Mais ce premier tome ne m’a absolument pas déçue, je l’ai adoré du début à la fin.  C’est un plaisir de retrouver tous les personnages de VA, d’en découvrir quelques autres.  D’avoir, grâce à Sydney,  un nouveau point de vue sur l’univers de Richelle Mead, au final j’ai beaucoup aimé notre nouvelle narratrice !.  Et le duo Sydney/Adrian m’a complètement conquise.  Je l’ai finis il y a quelques jours et franchement il ne m’est pas encore complètement sortit de la tête, tout ce que je peux dire pour conclure c’est : vivement The Golden Lily, franchement je ne sais pas comment je vais bien pouvoir attendre<3

dimanche 11 novembre 2012

Révolution (Jennifer Donnelly)


Couverture RévolutionDécidemment je suis dans une période bizarre pour le moment : j’aime tous les livres que je lis mais…je les lis lentement.  Je suppose que c’est parce que les cours me fatiguent, ou que je passe trop de temps sur facebook, ou alors que mon inconscient m’empêche de lire rapidement parce qu’il veut lire Bloodlines (qui n’arrive toujours pas dans ma boîte au lettre !!!!!!), ou plus probable un mélange des trois. 
Bref, toujours est-il que j’ai vraiment bien aimé ce bouquin, je trouve qu’il gagne à être connu !
Andi est brillante, musicienne talentueuse, elle fréquente une école privée d’élite, mais… elle n’arrive pas à surmonter la perte de son frère qui l’a dévastée, elle pense plusieurs fois au suicide, s’enfonce petit à petit.  Elle vit seule avec sa mère qui est tombée malade depuis la mort de son fils, et c’est Andi qui s’occupe de tout.  Quand son père, un scientifique de renom qui les a quittées depuis 2 ans, se rend compte de la situation : qu’Andi est sur le point de redoubler, de l’état de son ex-femme, il décide de l’interner et d’emmener Andi avec lui à Paris, où il devait réaliser avec un ami un travail sur le cœur de Louis-Charles, le Dauphin de France. 
Si ce roman m’a vraiment beaucoup plut, c’est parce qu’il mélange plusieurs dimensions que j’ai beaucoup aimé : l’Histoire, la musique, et Andi qui essaie de surmonter la perte de son frère.  Son personnage m’a vraiment beaucoup plut, l’auteur fait très bien passer ses émotions, sa souffrance, sa culpabilité, ses tentatives pour s’accrocher, ne pas abandonner.  J’ai beaucoup aimé la relation qu’elle entretient avec la musique, sa guitare est un petit peu devenu son seul moyen d’exprimer ce qu’elle ressent, ce à quoi elle tient le plus.  J’ai bien aimé aussi sa relation avec Virgile, elle n’est pas si importante que ça, mais il tient malgré tout une place dans sa « guérison », et elle donne une touche de romance au roman. 
Mais il n’y a pas une héroïne dans ce roman, mais bien deux.  Car après une centaine de pages, Andi découvre le journal d’Alexandrine Paradis, Alex, et on est plongée avec elle dans le récit de cette jeune fille de 18 ans qui a vécu durant la Révolution française.  Petit à petit, on la voit évoluer, passant d’une jeune fille plutôt égoïste, ne pensant qu’à faire décoller sa carrière d’artiste, à quelqu’un prêt à tout, même à sacrifier sa vie pour sauver Louis Charles, le fils de Marie-Antoinette et de Louis 16.  C’est un personnage qui m’a beaucoup touché, surtout vers la fin. 
Un autre personnage qui m’a vraiment beaucoup plut, c’est le professeur de musique d’Andi : Nathan.   Il est peu dans le genre vieux mentor un peu dingue mais aussi sage, brillant, intelligent et qui sort des phrases qui n’ont parfois ni queue ni tête.  En plus j’adore son prénom (Nathan).*l’argument qui ne sert vraiment à rien mais bon^^*. 
Comme je le disais, ce sont les différentes dimensions de ce roman qui me l’ont rendu si attrayant.  L’Histoire d’abord.  On a du mal à croire que l’auteur soit américaine quand on lit ce roman, et qu’on voit à quel point le travail de recherche est important.  Jennifer Donnelly n’a pas seulement voulu nous pondre un petit roman sympathique et émouvant, mais bien nous plonger complètement dans cette révolution française, et l’histoire qu’elle nous relate s’écoule de manière totalement fluide et réaliste.  Je suis belge, mais j’ai vu la révolution française en cours, et je peux dire que ce roman  m’a appris ou rappelé des tas de choses.  Franchement un très grand bravo à l’auteur.  La deuxième dimension que j’ai vraiment adoré, c’est la musique.  Je ne suis pas musicienne, j’ai voulu des tas de fois commencé à jouer de la guitare, mais je n’ai jamais concrétisé l’idée.  Pourtant j’adore la musique, et quand j’ai entendu parler de ce roman qui parle à la fois d’Histoire et de musique, ça ne peut que me plaire et j’ai tout de suite voulu le lire^^. Et mes attentes n’ont vraiment pas été déçues parce qu’en musique on est gâté aussi : Malherbeau, Beethoven, ou encore les Pink Floyd, on a droit à tout !
Le seul défaut que je trouve au roman, c’est peut-être son manque de rythme.  J’ai lu la plus grande partie très rapidement, mais c’était surtout parce que je n’avais que 2 jours pour le lire (bon certain trouveront peut-être que 2 jours c’est beaucoup, mais je n’ai le temps de lire que le soir, donc pour moi c’est plutôt rapide :D).  Donc si j’ai lu la majorité en deux jours, c’est parce que je devais le rendre à la bibliothèque (oui toujours cette fameuse bibliothèque des miracles à Louvain-la-Neuve), et qu’il ne me restait que 2 jours.  Ais-je réussi ? Non…Il ne me restait plus grand-chose mais je l’ai finalement prolongé.  Bref tout ça pour dire que si j’ai lu les ¾ en2 jours, il m’a fallu 2 autres jours pour lire les 150 dernières pages.  Non pas qu’il m’ennuyait, vraiment pas, mais c’est juste que je n’avais pas non plus l’envie de le dévorer, et du coup je ne l’ai pas finis super vite.  Toutefois, vu que l’on traite quand même ici en partie d’Histoire, c’est normal que le rythme soit un petit peu lent, je vois mal l’auteur nous inventer des rebondissements qui n’existent pas juste pour nous maintenir éveillés tard dans la nuit J En plus vers la fin, niveau surprise inattendue, elle a quand même trouvé pas mal, et en plus comme on passe du récit d’Alex à celui d’Andi, ça maintient un certain rythme dans l’histoire. 

Vous l’aurez donc compris, j’ai beaucoup aimé !  Que ce soit pour les personnages, l’histoire (avec un petit mais aussi un grand H), la musique, ce livre ne m’a vraiment pas déçue !

La probabilité statistique de l'amour au premier regard (Jennifer E. Smith)


J’ai vraiment bien aimé !
Hadley doit traverser l’Atlantique pour se rendre au mariage de son père, ce qui ne l’enthousiasme pas des masses car sa relation avec lui est plutôt tendue depuis le divorce de ses parents.  Elle ne pensait donc pas que ce voyage en Angleterre pouvait lui apporter quoi que ce soit de bénéfique mais tout change lorsqu’elle rate son avion…Car en attendant son vol, elle va rencontrer Oliver, un étudiant anglais qui retourne voir sa famille en Angleterre.

C’est clair que ce roman est un petit peu cliché, mais le titre l’annonçait, donc pas de mauvaises surprises. 
Ce qui m’a attiré en premier, ce n’est pas le titre qui est pourtant plutôt interpellant, mais surtout sa couverture.  La fille m’a tout de suite fait penser à Emma Roberts, et je ne sais pas, elle me donnait vraiment envie de lire ce bouquin. 
Couverture La probabilité statistique de l'amour au premier regardEt d’ailleurs ce n’est pas non plus une simple histoire d’amour, même si c’est l’élément principal du roman.  Hadley doit se rendre au mariage de son père, mais elle ne l’a plus vu depuis 5 mois, car elle refuse de lui rendre visite.  Du coup elle appréhende vraiment ces retrouvailles, ainsi que de faire la connaissance de Charlotte, la future mariée.  Elle est aussi un petit peu fragile depuis le divorce, et est devenue claustrophobe.  Du coup on a aussi un passage où l’auteur se concentre un peu plus sur la relation entre Hadley et son père, ce que j’ai bien aimé. 
Mais le point fort du roman, c’est bien sur la relation entre Hadley et Oliver.  Elle est vraiment super mignonne, et j’ai vraiment beaucoup aimé voir cette relation se nouer au cours de ces 7 heures de vol.  Même si c’est un petit peu irréaliste, c’est logique vu le thème du roman ; l’amour au premier regard. 
J’ai aussi bien aimé aussi voir la relation entre Hadley et sa mère, on voit qu’elles sont très proches, et ses retrouvailles avec son père. 
Bref ce fut vraiment un bon petit roman « doudou » le genre de roman qu’on est toute pressée d’aller lire bien au chaud sous sa couette, qui vous fait sourire et vous met de bonne humeur.  Un roman très sympathique, une jolie histoire, une relation super mignonne !.  J’ai vraiment bien aimé !

Le Dernier jardin, tome 1 : Éphémère (Lauren DeStefano)


Couverture Le Dernier jardin, tome 1 : ÉphémèreOuuaaawww quoi, franchement j’ai…adoré, même si je ne sais pas si c’est exactement le bon terme pour qualifier ce roman, il est difficile d’exprimer ce que j’ai ressenti à la lecture de ce livre. 
Rhine vit dans un monde où les femmes meurent à 20 ans et les hommes à 25.  En effet, des scientifiques pensaient avoir trouvé le moyen d’immuniser les enfants contre toutes les maladies, l’humanité croyait sa survie assurée…mais l’on finit par comprendre que si les enfants de la première génération sont en parfaite santé, leurs enfants eux décédaient irrémédiablement à 20 pour les filles ou 25 ans pour les garçons  Des scientifiques essaient de trouver un remède à ce « vrirus » mais d’autres considèrent qu’ils méritent ce qui est arrivé et qu’il n’y pas de remède.   Dans ce monde où beaucoup sont ainsi orphelins très jeunes, sans abris et sans travail, des filles sont enlevées, arrachées à leurs familles, et contraintes à des mariages polygames pour la survie de l’espèce.  C’est ainsi qu’à 16 ans Rhine, qui vivait seule avec son frère jumeau, se fait kidnapper et est forcée de se marier avec Linden, un gouverneur de Floride.  En effet, la première épouse de Linden, Rose, a 20 ans et petit à petit le virus la tue.  Rhine, et ses deux sœurs épouses, Cecily et Jenna, ont été choisies pour la remplacer. 

J’avais tellement entendu que le tome deux était beaucoup plus sombre que le un, que je m’attendais presque à un tome 1 « joyeux ».  Mais pour moi ce n’est pas vraiment le cas. 
On se sent emprisonné avec Rhine dans cette prison dorée.  Elle vit dans un manoir luxueux, a un mari aimant, des serviteurs aux petits soins, mais plus le roman avance, plus on apprend les horreurs qui se sont passées dans cette demeure.  On se sent aussi, comme Rhine, coincée, piégée par le maître domanial Vaughn, le père de Linden.  Cruel, il est le véritable dirigeant du domaine.  Au final c’est une prison dorée qui contient l’enfer. 
Le monde a tellement changé, est devenu si terrible, que certains comme Cecily, mais aussi Deidre, Gabriel, ou Linden  ne veulent pas être libérés car ils ne savent même pas ce que c’est que la liberté. Ils ont été coupé du monde réel, ayant vécu dans un orphelinat pour Cecily, Gabriel et Deidre.  Et même Linden que son père maintient lui aussi enfermé, sous son emprise, sans même qu’il s’en rende compte.  Même Rhine se laisse un petit peu  prendre. 
Toutefois cette ambiance très sombre est un petit peu contrebalancée par l’amitié qui unit Rhine avec ses sœurs épouses.  J’ai beaucoup aimé cette relation entre les sœurs épouses, leur solidarité, leur complicité. Ainsi que celle de Rhine avec Gabriel, Deirdre, le personnel, et même avec Linden, ça donne vraiment une touche positive au roman. 

Dès qu’elle arrive, Rhine ne pense qu’à s’enfuir.  A 16 ans, elle n’a plus que 4 années à vivre, et elle ne veut pas les passer enfermée auprès d’un homme qu’elle n’aime pas mais chez elle, avec son frère jumeau, libre.  A cause du virus, les enfants doivent grandir très vite et à 16 ans elle raisonne quasiment comme une adulte.  Pour cette liberté, Rhine va feindre de s’adapter, d’aimer sa nouvelle vie, mais elle ne garde qu’une idée en tête, c’est sa fuite.  C’est une héroïne mature, déterminée, courageuse.  Elle va aussi petit à petit commencer à nouer une relation avec Gabriel, un serviteur du manoir, mais ça reste vraiment au stade embryonnaire dans le tome 1.  Cecily, elle, a vraiment été obligée de grandir trop vite, surtout à cause d’un événement mais dont je ne parlerai pas pour ne pas non plus tout raconter à l’avance.  Elevée dans un orphelinat, cette vie qu’on lui offre : un mari qui l’aime, des serviteurs prêts à satisfaire ses moindres désirs, lui convient, même si elle ne l’a pas choisie.  Quand à Jenna, la troisième sœur épouse, même si elle accepte Linden dans son lit parce qu’elle n’a pas vraiment le choix, elle le hait, et il faut attendre un petit peu pour comprendre pourquoi.  C’est celle qui va le moins tolérer cette vie qu’on lui impose, même si elle le fait d’une manière différente de Rhine.  C’est cette volonté de refuser qui va les rapprocher et c’est avec Rhine que Jenna sera la plus proche. 

J’ai trouvé l’idée du virus très bonne, innovante, mais assez peu exploitée dans l’ensemble. On ne sait rien de comment il fonctionne, ou de s’il y a vraiment des idées qui ont été trouvées pour l’éliminer. 
Le style de l’auteur est vraiment efficace, elle maintient vraiment un carcan sur nous, même si ça ne me poussait pas à tourner les pages à toute allure, j’étais malgré tout complètement prise dans l’histoire. 
En plus la couverture est vraiment, mais alors là vraiment magnifique.  Le graphisme, les couleurs, la jeune fille,…Franchement si je devais faire un top des couvertures, elles seraient dedans sans aucun doute.  Non seulement elle est superbe, mais en plus le graphisme met en évidence des points clef du roman.  Bref elle est vraiment sublime. 

Quand je me dis que le tome 2 est encore « pire », j’appréhende un peu sa lecture mais ça n’empêche pas que je veux vraiment le lire. 
En conclusion, ce n’est pas un coup de cœur mais j’ai vraiment aimé le roman, une héroïne principale qui m’a convaincue, des personnages secondaires attachants, et  même si ça manque un peu de rythme, l’intrigue est bien construite.  

jeudi 8 novembre 2012

Pierre, 3 ans déjà...


S'il y a bien un article un peu "hors sujet" qui est important à mes yeux c'est celui-ci.  Cela fait maintenant 3 ans, le 8 novembre 2009, que Pierre Bottero nous a quittés.  
Pierre Bottero, l’auteur des sagas d’Ewilan, L’autre, Les âmes croisées, Le chant du troll, Tour B2, Zouck, Météorite,…et du Pacte des Marchombres.  Cette saga qui aura toujours une place dans mon cœur.  Les années passent, on découvre de nouveaux romans, de nouveaux auteurs, on vit de notre côté, la peine s'atténue mais ne disparaît jamais vraiment complètement.  Il m'est arrivé plus d'une fois, surtout en cette période, de regarder le ciel, de sentir le vent, de lire une phrase, et de penser à lui, à un roman, une citation,…Pierre était et restera toujours je pense un de mes auteurs préférés, celui qui m'a ouvert en grand les portes de l'imaginaire, de la lecture, il avait un talent immense, un pouvoir de jouer avec les mots jusqu'à leur donner une sonorité parfaite, un talent que je n'ai jamais complètement retrouvé ailleurs jusqu'à présent.  Je n'ai jamais eu la chance de le rencontrer, mais même à travers ses mots, ses messages sur le site des Monde Imaginaires, on découvrait un peu de l'auteur, de son humour, de sa gentillesse. Encore merci Pierre pour tous ces rêves, ces émotions, ces rires, ces attentes insupportables du prochain roman (^^), ces angoisses, ces fourmillement d’excitation et d’expectative à l’attente de ce que vous nous réserviez, du cœur qui se serre après un passage magnifique, que vous nous avez fait vivre.  Merci, vraiment.

mardi 6 novembre 2012

Mission Nouvelle Terre, tome 1 : Glow (Amy Kathleen Ryan)


Titre : Mission Nouvelle Terre, tome 1 : Glow
Couverture Mission Nouvelle Terre, tome 1 : GlowAuteur : Amy Kathleen Ryan
Publié aux éditions Msk le 10 octobre 2012
Genre : Science-fiction, Jeunesse
Page : 389
Prix : 17,60
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Vous avez remarqué, j’ai un petit peu étoffé la présentation du roman, et c’est parce que Glow est mon tout premier partenariat!  Donc un grand merci aux éditions Msk et bien sûre à Livraddict pour cette opportunité, je suis vraiment super contente d’avoir pu le chroniquer!
Même si j’ai angoissé au début, j’avais finis par croire que je ne le recevrai jamais, vu qu’il est arrivé avec quasiment 2 semaines de retard par rapport aux autres, du coup j’ai fait des bons quand je l’ai vu dans ma BAL!^^ En plus j’adore le design du livre, la couverture est sobre mais magnifique, et je suis fan de la matière dans laquelle elle est faite:).
Waverly est née et a vécu toute sa vie sur l’Empyrée, une navette spatiale à destination de la Nouvelle Terre.  En effet la vie sur Terre devenant impossible, il a été décidé que deux navettes, le Nouvel Horizon et l’Empyrée, seraient lancées à destination de la Nouvelle Terre avec à son bord, des hommes et des femmes qui ont comme mission d’y perpétuer la race humaine.  Waverly, 15 ans, est la première fille née sur l’Empyrée.  Alors que son plus grand problème était de se demander si elle allait accepter d’un jour épouser Kieran (ce qui semble évident pour tout le monde), et qu’est-ce que c’est que cette attirance qu’elle ressent pour Seth, l’Empyrée se fait brusquement attaquer par le navire jumeau de l’expédition, le Nouvel Horizon.  Toutes les filles se font kidnapper et embarquées à bord du Nouvel Horizon, et Waverly, perdue, doit absolument trouver un moyen de s’enfuir, elle et toutes ses amies avec.

J’avais un peu peur de ne pas apprécier mon premier partenariat, mais ce n’est clairement pas le cas avec celui-ci, même si ce n’est pas un coup de cœur, je l’ai beaucoup apprécié!
Dès le début il commence très, très fort.  Souvent dans le premier tome, le début est un peu lent parce que l’auteur prend le temps de nous expliquer son monde, mais ici l’action est présente dès le début (même si le récit se ralentit un peu par la suite) et ça n’a pas de conséquences sur la compréhension de l’histoire que l‘auteur explique très bien. 
Elle nous fait ici une narration à travers deux personnages différents : celui de Waverly sur le Nouvel Horizon, et celui de Kieran sur l’Empyrée.  L’idée m’a beaucoup plût car ça permet de suivre ce qui se passe en parallèle sur les deux navettes, et en plus ça donne du rythme au récit. 
J’ai beaucoup aimé le personnage de Waverly, plus que le personnage de Kieran que j’ai trouvé un petit peu trop lisse, surtout au début.  C’est un personnage fort, volontaire, courageux, qui ne se laisse pas embobiner par tout ce qu’on lui raconte. Même si au début je m’inquiétais un peu, vu que comme le résumé le dit, son plus grand problème a l’air d’être de savoir ce qu’elle veut comme avenir avec Kieran, ou ce qu’elle ressent pour Seth.  Mais dès l’attaque, elle change bien vite de préoccupations, et on découvre que sa vie n’est pas toujours facile, qu’en tant que la fille la plus âgée du vaisseau, elle sent qu’elle doit répondre à des attentes, qu’elle se marie, qu’elle ait des enfants pour peupler cette Nouvelle Terre, et elle sent le regard de certains hommes peser sur elle.  J’ai moins accroché à Kieran, le deuxième narrateur de l’histoire, au début il m’a l’air trop gentil, puis à la fin, trop tourné vers la religion, presque fanatique.  Quand à Seth, il est difficile de se faire une opinion sur lui.  Si au début il me plaisait plutôt, ensuite quand on le voit à travers les yeux de Kieran, il ment, monte l’équipage contre Kieran, l’enferme, j’ai vraiment changé d’avis, et vers la fin, il se rachète un petit peu donc au final je ne sais vraiment plus quoi penser de lui.  C’est peut-être aussi parce qu’on le voit à travers deux personnages qui ont un avis différent sur lui.  Donc il est clair que j’ai hâte de voir ce qu’il deviendra dans le prochain tome !
L’auteur nous tient vraiment dans le roman, l’atmosphère est souvent sombre, dérangeante.  Secret, manipulation, mensonge, et des thèmes qui nous interpellent, nous coincent, comme celui de la religion, du culte, (ça m’a rappelé ces églises aux Etats-Unis, j’avais vu un reportage qui expliquait que les enfants n’avaient pas le droit de lire Harry Potter, parce que l’Eglise n’approuvait pas le roman!), de tout ce qu’on est prêt à faire pour parvenir à ses fins.  Les personnages secondaires, et un en particulier, sont ainsi très intéressants,
J’ai beaucoup aimé que l‘auteur nous emmène dans l’espace, n’étant pas très fan de la science-fiction, et même pas spécialement une des plus grandes adeptes des dystopies, c’est un univers dans lequel je n’étais encore jamais allée et j’ai vraiment apprécié la manière dont l’auteur voyait les choses, je trouve même qu’elle aurait pût plus développer certaines choses concernant l’espace, ou ce qui s’est passé sur Terre. 
J’ai mis quelques jours à le lire, mais ça tient plus à ma fatigue (et hors-sujet, que ça fait des semaines que j’attends que Bloodlines arrive dans ma boîte aux lettres:/) qu’à mon manque d’intérêt parce que j’ai vraiment beaucoup aimé le roman, prenant, interpellant, avec de bonnes idées et une héroïne que j’ai beaucoup apprécié.  Donc si en plus vous êtes fan de dystopie, là, tentez-le!^^
Merci encore à Msk et Livraddict pour cette lecture!

mercredi 17 octobre 2012

7 ans après...(Guillaume Musso)


Couverture 7 ans après...Ça faisait un bout de temps que je n’avais plus lu de Musso et j’ai plutôt apprécié cette reprise.  Nikki et Sebastian ne se sont quasiment plus reparlés depuis 7 ans.  Lorsqu’ils ont divorcé, ils ont séparé leurs vies, et leurs jumeaux, Sebastian obtenant la garde de Camille, et Nikki celle de Jeremy.  Mais Jeremy disparait et Nikki décide de demander de l’aide à Sebastian.  Les voilà tous les deux lancés dans une course à la recherche de leur fils. 
J’ai trouvé l’idée originale de la part de Musso, qui d’habitude parle plutôt de rencontres, et là il décide de parler des retrouvailles d’un couple qui avait explosé et c’est une idée qui m’a plu.
J’ai beaucoup aimé les deux personnages principaux : Nikki et Sebastian, totalement opposés, l’un plutôt réfléchi et calme, l’autre spontanée, fonceuse.  Chacun va être un petit peu influencé par l’autre.  Ils forment ainsi un couple plutôt explosif.  Même si j’ai trouvé qu’ils passaient peut-être un peu facilement de « tu es mon ex que je ne veux plus jamais revoir » à l’amour fou, c’est un plaisir de voir leur relation évoluer au fil du roman, de découvrir les failles de chacun, et ce qui les a mené à la rupture.  J’ai bien aimé les flash-back parlant de leur rencontre, ça permet de se rappeler que ces deux-là s’étaient aimés, de voir comment ils étaient et comment ils ont évolué.  Et comme toujours, on a droit à des personnages secondaires vraiment touchants, en tête Constance, atteinte d’un cancer incurable, ou encore Santos, le flic amoureux de Nikki.
Le style est juste assez descriptif, l’auteur arrive vraiment à nous plonger dans son roman, dans les différents endroits que parcourent ses personnages.  On voyage dans des contrées où l’on n’a jamais pût mettre les pieds.  C’est un bon thriller, j’avais quelques idées au fil du bouquin, mais la fin a été une belle surprise.  Et on a droit à un très beau final.  Même si ça m’a pris environ 5 jours pour le lire, j’ai beaucoup aimé cette retrouvaille avec l’auteur, des personnages attachants, un bon thriller, et de jolies descriptions.  

samedi 13 octobre 2012

Manhattan girls, tome 1 (Joanna Philbin)


J’ai pris ce livre sur un coup de tête au moment où j’ai emprunté « l’été où je suis devenue jolie », et après je me suis dit que ça allait sûrement être une simple histoire de jeune fille riche, etc… je n’avais pas tout à fait tort mais au final j’ai bien aimé quand même !
Lizzie est la fille du top model le plus connu de la planète : Katia. Sauf que Lizzie, elle, est loin d’avoir le physique de sa mère et n’en peut plus d’être traînée à tous les défilés auquels sa mère apparaît, et voudrait juste qu’on arrête de la comparer à Katia.  En parallèle, elle retrouve un ancien ami d’enfance de retour de Londres, qui s’est étonnement métamorphosé entre temps en étudiant canon.  Et bien sûr le cœur de Lizzie ne résiste pas…

Couverture Manhattan girls, tome 1Lizzie est complexée par son corps à cause de sa mère qui est mannequin, mais après une mésaventure, elle va se rendre compte que finalement elle n’est pas si « moche » que ça et qu’elle a même un talent pour le mannequinat. Sa relation avec Todd (ledit étudiant canon) est un peu nunuche mais mignonne quand même. J’ai beaucoup aimé Andrea, la photographe qui a repéré Lizzie, qui va l’aider à s’aimer comme elle est, à ne plus avoir peur de l’objectif, ainsi que ses deux meilleures amies : Carina et Hudson. 
Bien sûre il y a toujours les clichés : les « Icks » : un groupe de pestes, Ava qui va vouloir piquer Todd à Lizzie, la demoiselle qui se rend compte qu’elle a fait une erreur et retrouve la bonne voie et se fait pardonner, les  supers meilleures amies,… Mais j’ai quand même beaucoup aimé, j’ai passé un bon moment, une bonne lecture détente, une histoire pas exceptionnelle mais chouette à lire, de la mode, NW,  de bons personnages, et la fin est un bon rebondissement qui donne envie de lire le suivant.

L'Eté où je suis devenue jolie (Jenny Han)

Bon ce bouquin, je suppose que la majorité, tout comme moi, en avait déjà entendu parler au moins une fois, et pour cause, c’est vrai qu’il est vraiment pas mal. 
Mais donc moi aussi j’en avais eu beaucoup d’échos positifs du coup quand je l’ai vu à la bibliothèque (soit dit en passant, si vous habitez près de Louvain la Neuve, les français ne cherchez pas c’est en Belgique, mais mon dieu précipitez- vous à cette bibliothèque !  Je savais qu’il y en avait une mais je n’y avais jamais mis les pieds avant d’arriver à l’unif, et là : bam ! Le paradis existait, et c’était juste à quelques km de chez moi ! Des tas et des tas de livres de ma wish list, je vous dis pas quand il a fallu choisir… :D) mais je n’ai donc pas hésité pour « l’été où je suis devenue jolie », ma curiosité était trop forte. 
Belly ne vit que pour l’été, pour ces vacances dans leur maison au bord de la plage, pour pouvoir retrouver Conrad et Jeremiah, les fils de Susannah, la meilleure amie de sa mère.  Mais cet été pourrait bien être le dernier et ces vacances sont teinté d’une ambiance spéciale, tout le monde est plus distant. 
Belly réagit vraiment comme n’importe qui, ce qui fait qu’on s’attache d’autant mieux à elle.  Elle a toujours voulu pouvoir faire partie intégrante du trio formé par Conrad, Jeremiah et Steven, le grand frère de Belly, mais ceux-ci ne l’ont jamais vraiment intégré à leur groupe.  Et surtout, elle veut plaire à Conrad, qu’elle aime depuis qu’elle a 10 ans.  Cet été pourrait bien tout changer.  Belly a grandi, le livre porte bien son nom, elle est devenue jolie, et les garçons se rendent compte qu’elle n’est pas juste une petite sœur que l’on s’amuse à taquiner.  On vit vraiment cet été avec elle, on vit ce qu’elle vit, son bonheur, son chagrin, j’ai bien aimé sa relation avec Conrad, mais aussi avec Jeremiah et Susannah, ils forment tous une sorte de deuxième famille pour elle.  Pour Belly et Conrad, comme toujours j’ai tendance à préférer le moins accessible, le premier amour, on ne se refait pasJ.  Par contre j’ai trouvé qu’elle « jouait » un peu trop avec Cam, même si c’est logique dans l’histoire, je ne l’aurais pas vraiment vue faire autrement, mais la manière dont elle le laisse en plan, c’est un peu fort. 
Il est impossible de ne pas s’attacher aux personnages, tellement l’auteur arrive à nous transmettre leurs émotions, on a l’impression d’être dans cette maison avec eux.  J’ai donc beaucoup aimé son style.  Le fait qu’on fasse des bonds dans le temps, pour moi c’était à la fois positif et négatif : positif parce que ça permettait de donner une ampleur supplémentaire au récit, de voir notre Belly plus jeune, sa relation avec Conrad et Jeremiah, ses rêves, ses pensées, à différents moments de sa vie.  Ça montre comment elle est arrivée là où elle est aujourd’hui.  Négatif parce que ces flash-back ne suivent pas de réelle logique, du coup on s’y perd un peu dans la chronologie, même si certains ont un rapport avec le présent, ce qui nous permet de nouveau de mieux comprendre les passages et les personnages. 
La fin est vraiment géniale, non pas que tout s’accélère ou qu’il y a des rebondissements, vu que ceux-ci sont quand même assez prévisibles, mais que le récit gagne encore en émotion.
En conclusion, c’est vraiment une très belle découverte, j’ai hâte de lire le suivant pour retrouver Belly, Conrad et Jeremiah !

La Cité des Ténèbres, tome 3 : Le Miroir mortel (Cassandra Clare)


Je l’ai adoré, c’est peut-être même le meilleur des trois ! Clary est décidée à se rendre à Alicante afin de rencontrer Ragnor Fell, le sorcier qui est capable de réveiller sa mère, mais Jace n’est pas de cet avis et va tout faire pour qu’elle ne les accompagne pas.  Sauf que Clary a des réserves insoupçonnées… Du côté de Valentin, il ne lui manque plus que le miroir pour posséder tous les instruments mortels, et il est décidé à renverser l’Enclave, et la cité de Verre, même s’il doit s’allier aux démons.  
Dans ce tome, l’action commence vraiment dès le début, et il n’y a vraiment pas beaucoup de temps mort.  Jace et Clary sont de nouveaux nos 2 personnages de tête et je les ai de nouveau tous les deux adoré, et leur relation.  Même si la fin était peut-être un peu trop facile, et après ce que Jace a dit Clary lorsqu’ils se retrouvent, Clary lui pardonne un peu trop facilement, mais ça reste une très jolie histoire, faite d’amertume, d’amour, d’éclats. 
J’ai aussi beaucoup aimé Magnus, qui restera un de mes personnages préférés, il balance les vérités en pleine figure, même celles qui ne sont pas faciles à entendre, mais à chaque fois je ris (par exemple la scène de la marque avec Luke et Jocelyne^^).  Et son couple avec Alec est à la fois drôle (vu tous les faux départ d’Alec, alala la scène dans le tome  2 après le test de la marque de Clary, j’en ris encore :D) et mignon, un peu étonnant aussi vu que ce n’est vraiment pas courant dans la littérature jeunesse.  C’est aussi un plaisir de retrouver les autres personnages : Simon qui mûrit encore dans ce dernier tome, on ne reconnaît plus le gamin qui restait dans l’ombre de Jace dans le premier tome, Isabelle, Alec, Luke qui va aussi être plus important, ainsi que la sœur de Luke.
On a aussi droit à un nouveau personnage ici, et même si pour moi le doute n’a pas plané très longtemps sur ses origines, il y a quand même de bonnes surprises à la fin ! 
Et la fin justement elle est pas mal du tout, quelques révélations, des combats, même si je m’attendais à quelque chose d’un petit peu plus explosif J
La trilogie se suffit à elle-même mais je lirai avec plaisir le tome 4 dès que je mettrai la main dessus, Cassandra Clare nous a fait ici une belle petite saga, avec des personnages attachants, une mythologie innovante, une histoire prenante, franchement la série est digne de sa réputation, j’ai vraiment beaucoup aimé !

dimanche 23 septembre 2012

Treize raisons (Jay Asher)


Lorsque j’ai vu ce bouquin à la bibliothèque la première fois, je ne l’ai pas emprunté parce que ma quantité de livre à rendre à la bibliothèque était à ce moment si élevé que je ne pouvais pas me permettre d’encore les prolonger^^ Donc j’ai réussi à résister à la tentation J   Mais la deuxième fois, comme il était toujours disponible, je me suis décidée à l’emprunter, surtout que j’en avais quelque peu entendu parler. 
C’est un thème, le suicide, qu’on ne trouve pas souvent dans nos librairies, ou du moins que je ne lis pas souvent, mais j’ai apprécié cette découverte. 
Hannah est un personnage attachant, la manière dont elle nous livre ces 13 raisons qui l’ont menées vers sa fin, la manière dont s’est raconté, via ces cassettes à travers lesquelles elle nous relate sa vie, qui nous mènent d’un lieu à l’autre ne peut que captiver.  On vit ces moments là avec elle, avec Hannah, tout en sachant comment cela va finir, et on est emporté par ce courant au fil des cassettes.  Le deuxième personnage principal, Clay, m’a bien plu aussi.  On a accès a toute ses pensées, tout ce qui se passe dans sa tête, ses sentiments : regrets, colère, peine,… toutes les émotions à travers lesquelles il passe à l’écoute des cassettes, et ça l’en rend encore plus attachant. 
Couverture Treize raisonsCe qui ne m’a par contre pas vraiment plu, c’est la manière dont sont répartis les passages entre Clay et Hannah : ceux d’Hannah étaient en petit, en italique, et en gras.  Ceux de Clay dans une police normale.  Mais le problème était qu’on pouvait avoir 3 lignes avec Clay puis un passage avec Hannah, puis de nouveau Clay, etc...  Au final on s’y perd et il m’est arrivé plusieurs fois de lire quelques lignes sans me rendre compte qu’on avait changé de narrateur, car j’étais plongée dans l’histoire, et c’est plutôt agaçant de se rendre compte qu’on a mal interprété le passage.  J’aurais préféré qu’on alterne les chapitres, on qu’on fasse au moins une séparation plus claire, en espaçant les passages ou en indiquant le nom par exemple. 
Mais sinon, au niveau du style, j’ai beaucoup aimé, l’auteur fait bien passer les émotions de ses personnages, et le roman en devient plus touchant.  Malgré ça, le livre ne m’a pas autant captivée que ça, peut-être à cause de la fatigue, de cette première semaine de cours, ou peut-être juste que ça ne prenait pas mais j’ai quand même mis une semaine pour le lire. 
Il ne m'a pas transportée, mais ce roman m’a plu, il est touchant, attachant.  

L'Héritage, tome 4 (Christopher Paolini)



Couverture L'Héritage, tome 4 A lalala voici enfin la dernière page tournée,  et il y en a eu des pages dans cette saga !^^  Ca me fait un peu  l’effet de la fin d’Harry Potter.   Comme la série de JK Rowling, celle de Christopher Paolini m’a accompagnée depuis l’âge de onze ans, ça fait donc un bon bout de chemin parcouru ensemble, moi qui vient maintenant d’atteindre l’âge vénérable (ou pas) de 18 ans.  Je crois que c’est ma saga qui était en cours depuis le plus longtemps en fait J
Enfin bref, dans ce tome, la conclusion approche et on sait que la bataille finale est inévitable.  Eragon, Saphira, Roran, Arya, Nasuada, Orik, tous sont déterminés à aller jusqu’au bout et à délivrer l’Alagaësia de Galbatorix, mais de nombreuses embuches se dressent sur leur chemin. 
Comme les précédents, ce bouquin n’est pas un poids plume, il ne fait pas moins de 888 pages (admirez la beauté du chiffre) mais pourtant j’ai réussit à le finir en une semaine (bon j’étais encore en vacances aussi :D).
Eragon a énormément mûri depuis le tome 1, ou même le tome 2.  On ne reconnaît plus du tout, comme lui-même finit par le réaliser, le garçon de ferme qu’il était.  Il a une énorme pression sur les épaules, vaincre Galbatorix, alors que pour le moment il n’est pas encore capable de vaincre Murtagh et ses Eldunaris.  Mais il a de la volonté, et est décidé à réussir.  On a aussi droit au point de vue de Roran, comme dans les tomes précédents.  Même si je préfère celui d’Eragon, j’ai bien aimé car ça permet d’avoir la vision de quelqu’un qui n’est  pas un dragonnier, qui ne connaît rien à la magie, mais juste un soldat, un homme qui se bat pour ceux qu’il aime. 
Il y en a un que j’ai adoré voir un peu plus, c’est Murtagh.  Je l’avais bien aimé dans le tome 1 et j’étais déçue qu’il n’ait pas un rôle plus important dans les 2 suivants, donc j’étais contente qu’il soit plus présent avec Nasuada dans celui-ci J Mais tous les personnages m’ont plu, Arya, Angela, Solembum, Orik,…
Le style de l’auteur ne change pas vraiment, il conte toujours aussi bien cette épopée incroyable, et la fin est vraiment géniale.  C’est vraiment une belle conclusion à la saga, pleine de batailles, de surprises, de magie, et de dragons, de pertes mais aussi de victoires, tous le monde, qu’on soit humains, nains, elfes, urgals ou chats-garous, rassemblés pour vaincre Galbatorix.  J’étais sûre ‘(enfin presque) de l’identité du dragonnier du dernier œuf^^.  L’auteur prend vraiment son temps pour nous offrir une conclusion qui compte tout de même 100 pages, rien que pour nous détailler ce que devienne nos personnages principaux.  La fin, même si la prophétie l’annonçait, m’a pourtant laissé un peu sur ma faim (sans mauvais jeux de mots^^), avec pour moi un goût d’inachevé.  L’auteur promet toutefois de retourner un jour en Alagaësia, donc c’est peut-être normal mais ça me laisse quand même insatisfaite. 
En conclusion, ce dernier tome m’a vraiment beaucoup plu, et l’auteur réussit à nous offrir une conclusion digne de la saga et du monde qu’il a crée il y a 12 ans déjà.  

samedi 22 septembre 2012

Les portes du paradis...enfin!:)



Un petit message qui n'est pas une chronique mais plutôt pour annoncer une grosse surprise (enfin du moins pour moi!!!:) 
Mesdames et messieurs, si vous n'étiez pas encore au courant, je vous annonce que le dernier tome de la saga de Vampire de Manhattan sort le 2 novembre!!!
Vu que je pensais qu'il ne sortirait qu'en 2013, ça a été une super bonne surprise, j'étais trop trop contente, en plus la couv est magnifique:p Alala, décidément entre le dernier tome d’irrésistible alchimie (irrésistible fusion qui sort le 6 novembre), bloodlines qui sort le 19 octobre<3, et ça, la rentrée est pleines de bonnes sorties^^
Le résumé:La confrontation ultime aura lieu entre les sang-bleu et les sang-d’arqent. Le décor de ce dernier combat ? Ce sera Londres, la ville où se trouvent les portes du paradis. Cette bataille paraît inévitable mais tous ignorent ce qui la déclenchera. Théodora craint deux choses plus encore que la guerre : se retrouver devant son grand amour perdu et imaginer que les sangs-bleu et tout ce pourquoi elle s’est battue soit perdu à jamais… 

Il sort le 2 novembre aux Editions Albin Michel Wiz, 13,50€.
Source: Bookenfolie