J’avais dis que j’avais adoré le tome 1,
l’histoire, les personnages, le style de l’auteur et bien je le répète pour le
tome 2 qui est tout simplement sublime.
J’ai adoré, du début à la fin.
Vango est parti aux Etats-Unis, désespéré de toutes ces morts qui le
suivent et bien décidé à trouver la clef de son passé, trouver l’homme qui a
causé la mort de ses parents. Là il
rejoint Zefiro, qui continue à mener sa chasse contre Viktor. Ethel, elle, est toujours en Europe. Mais comme toujours, l’histoire continue à
voyager à travers des lieux magnifiques, les Etats-Unis, Paris, l’Ecosse,
Caucase,…
L’un des gros points fort du roman c’est
bien évidemment les personnages. Ils
sont tous « obstinés, têtus et passionnés », mais chacun a sa propre
histoire, ses propres rêves, qui les rendent plus attachant les uns que les
autres. Vango est bien sûre l’un de ceux
que je préfère, ballotté dans sa propre vie, il se bat pour la prendre en main,
devenir libre, arrêté de fuir, connaître son passé. Mais il y a une flopé d’autres personnages
qui sont plus drôles et géniaux les uns que les autres : Ethel bien
évidemment, La Taupe ,
Andreï, le comissaire Boulard et Mme Boulard, Zefiro, Eckener, Esquirol,
Pupett, Mademoiselle, Basilio, Paul, Mary,…Ce roman, c’est leur histoire à
tous, un petit bout de leur vie.
Le deuxième gros point fort de ce roman
c’est le style. J’en avais déjà parlé
dans la chronique du tome 1, mais je trouve que le style de Timothée de
Fombelle est magnifique. Et c’est ce qui
me manque un peu dans la littérature américaine. Ce roman, c’est un poème, en un peu plus long
et bourré de rebondissements, de secrets, et de révélations en prime. Ce bouquin, il me replonge dans mon enfance,
dans mes rêves, c’est le bonheur, la tristesse, le chagrin, le rire, la
jalousie, l’espoir, le courage, l’amour, la passion, à travers quelques pages,
quelques phrases, quelques personnages, qui nous touchent. Ce n’est pas le genre de livres où l’estomac
se noue, on l’on arrête de respirer, parce que l’action prend aux tripes mais
plutôt celui où le cœur se serre, où les souvenirs affluent, où l’on sourit
pour pas grand-chose, juste parce que la phrase est belle. Et comme toujours, plus les pages se
tournent, plus les indices apparaissent et la fin est un vrai régal.
Bref, on le voit, j’ai adoré le tome 2
de Vango qui est un vrai bijou, un vrai moment de bonheur, de poésie.
un grand coup de coeur pour moi aussi. j'aime bcp ton billet et le passage du sourire pour les belles phrases est très juste pour ce roman!
RépondreSupprimermerci beaucoup! Je vois que Vango a gagné le coeur de beaucoup de gens<3
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