Victor Hugo je n’avais jamais lu l’un de
ses romans, mais pourtant je l’adorais, et j’avais super envie de découvrir l’une
de ses oeuvres. Est-ce que c’est parce que l’on en a parlé en classe, ou
juste que c’est un auteur si connu qu’on est tous un peu fan d’un bonhomme
pareil, je ne sais pas mais j’avais super envie de le découvrir du coup j’avais
emprunté l’un de ces romans a la bibliothèque : Notre Dame de Paris. Je dois avouer que ça ne s’est pas très bien
passé, je l’ai commencé, mais j’ai vite compris que ça allait être un petit peu
ardu. Si j’avais été en vacances je
crois que j’aurais tenté l’expérience, mais là en période scolaire, avec des
milliers de livres moins…classiques qui m’attendaient j’ai finalement décidé de
le ramener pour retenter la lecture dans une période plus calme. Et c’est là que, dans une bibliothèque, je
vois une collection trop cool qui se nomme « les incontournables de la
littératures en BD ». Franchement
c’est génial, des tonnes de classiques qui vous rebuteraient, à cause de leur
épaisseur, de leur style, de la lourdeur des descriptions, adapté en
BD ! (2 tomes à chaque fois) J’ai sauté sur l’occasion et c’est ainsi
que je me suis retrouvée avec les Misérables et le premier tome de « Le
rouge et le noir » de Stendhal.
Je suis tout de suite entrée dans
l’histoire des Misérables, bien sûre c’est un petit peu différent car l’on a
affaire là à une bande dessinée, mais le texte était bien conservé, les
illustrations très chouettes, et l’adaptation fait que ça se lit beaucoup plus
facilement, et donne d’ailleurs envie de découvrir un jour l’œuvre originale
pour voir ce que l’on a manqué.
J’ai beaucoup aimé les trois personnages
principaux, à savoir Jean Valjean, Cosette et
Marius ainsi que le contexte dans lequel nous plonge l’auteur. Victor Hugo était quelqu’un de très engagé et
il faisait passer ses messages à travers ses romans, ses écrits, à travers ces
« misérables ». Le roman commence
en 1815, et s’achève dans les années 1830/40, on assiste donc aux révolutions
de 1830. C’est le genre de romans que
j’aurais aimé étudier en classe si l’année avait été plus longue J(une année plus longue, c’est moi qui dis
ça ?^^).
Bref cette chronique n’est pas, je dois l’admettre, très constructive car je ne m’y connais pas tellement, ni dans ce genre de littérature ni dans l’histoire de France vu que je suis belge :D, mais si vous tombez dessus franchement c’est à prendre, j’ai beaucoup apprécié l’expérience J
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