expr:class='"loading" + data:blog.mobileClass'>

Menu

Mes dernières chroniques

Mes dernières chroniques

Couverture Bloodlines, tome 5   Couverture Divergent / Divergente / Divergence, tome 3 : Allégeance   Couverture Divergent / Divergente / Divergence, tome 2 : Insurgés      Couverture La 5e vague, tome 1   Couverture Les Vampires de Manhattan, tome 7 : Les Portes du paradis    

lundi 21 janvier 2013

Oksa Pollock, tome 1 : L'inespérée (Anne Plichota & Cendrine Wolf)


Titre: Oksa Pollock, tome 1: L'Inespérée
Auteur: Anne Plichota et Cendrine Wolf
Publié aux éditions Pocket Jeunesse le 8 novembre 2012
Genre: Fantasy, Fantastique, Jeunesse
Pages: 630
Prix: 8,40
Acheter sur Amazon

Avant toute chose, je voudrais commencer par remercier les éditions Pocket Jeunesse ainsi que Livraddict pour ce partenariat que j’ai pris beaucoup de plaisir à lire !
Couverture Oksa Pollock, tome 1 : L'inespéréeDeuxièmement je souhaiterais m’excuser pour la date tardive à laquelle je poste cette chronique,  cela fait tout pile un mois, et même un jour, que j’ai reçu le roman.  C’est loin d’être volontaire, mais comme il est arrivé juste avant le blocus (ah oui c’est vrai j’ai récemment réalisé que ce mot n’existait pas en France, en fait ça désigne la période fin décembre/ janvier de révision ainsi que la session d’examen à l’université.  Voilà comme ça j’aurai agrandi votre connaissance des particularités du belge !:D),  je n’avais le temps de lire qu’un petit quart d’heure le soir, voire pas du tout.  Ce qui fait que j’ai lu Oksa pendant trois semaines, et que même à la fin de mes examens, vendredi, il me restait encore une petite centaine de pages à lire.
Je réalise que mon avis arrive donc bien tard, et j’en suis vraiment désolé ! 

Mais passons au plus intéressant, c’est-à-dire Oksa !
Oksa Pollock pensait être une jeune fille comme les autres, elle a un meilleur ami Gus, des parents qui l’aiment et une grand-mère, sa Baba, qu’elle adore. Mais dès le début du roman, on sait qu’Oksa n’est pas vraiment comme tout le monde.  Et pour cause car on découvre qu’elle ne vient pas de Du-Dehors, notre monde, mais de Du-Dedans, c’est-à-dire d’Edifia, un monde invisible à nos yeux de terrestre.  En effet la grand-mère d’Oksa, Dragomira, et beaucoup d’autres sont des Sauve-qui-Peut.  Ils ont dû fuir Edifia lors du Grand-Chaos où un traître du gouvernement, Occious, s’est emparé du pouvoir.  Et non seulement elle vient d’un monde inconnu, mais pour couronner le tout elle est leur Inespérée, leur seul espoir de retourner à Edifia, la nouvelle Gracieuse, ce que prouve la marque en forme d’étoile apparue autour de son nombril. 


Ce roman a été pile-poil à la hauteur de mes attentes.  Quand je l’ai vu dans les partenariats, il m’a tout de suite tentée, j’en avais déjà un peu entendu parler et j’ai été prise par une brusque envie d’un roman jeunesse.   Ça a donc été un vrai plaisir d’apprendre que j’avais été choisie, encore merci pour ce partenariatJ. Puis en attendant son arrivée j’ai eu un petit stress, est-ce que ça ne risquait pas finalement d’être un peu trop jeunesse pour moi? 
Et la réponse est non ! Dès que je l’ai commencé j’ai été rassurée, j’ai beaucoup aimé le style de l’auteur, ou plutôt des auteurs, oui c’est jeunesse mais absolument pas « gnangnan ». 
En fait j’ai trouvé que ce bouquin a été la lecture idéale pour cette horrible (et grande première mais malheureusement pas la dernière:/) période de ma vie.  J’avais besoin d’une lecture pas excessivement passionnante, j’entends par là une qui ne me pousserait pas à délaisser mes cours pour lire jusque minuit^^.  Mais une avec laquelle j’allais pouvoir vraiment me détendre, m’évader ne serait-ce qu’un petit moment, où je ne me dirais pas au moment d’aller rejoindre mon lit « tant pis je suis trop crevée je dors », mais « allez, juste un petit peu pour connaître la suite », et replonger dans les aventures déjantées de la demoiselle.  Je dois d’ailleurs avouer, ne le répétez à personneJ, que ça m’est même arrivé de dépasser le fameux quart d’heure imparti^^. 

J’ai adoré Oksa, ses éclats de rire, son humour, son dynamisme.  Toutes ces découvertes sur son pouvoir, ses origines, son rôle, c’est beaucoup d’un seul coup pour une fille de 13 ans, mais elle encaisse et garde malgré tout sa bonne humeur.  Et cette joie de vivre est communicative, même si j’ai trouvé qu’au bout du centième « non mais c’est dingue, c’est complètement dingue », ou « Oksa éclata de rire », ça en devenait parfois un peu répétitif. A part ça, Oksa est définitivement  une fille joyeuse, dynamique, fonceuse et j’ai adoré suivre les aventures de notre héroïne.  Quant à son meilleur ami Gus, c’est son exact opposé, beaucoup plus prudent, c’est la voix de la sagesse qui raisonne Oksa-san le ninja quand ses idées sont vraiment trop dingues.  Pourtant il est prêt à la suivre quel que soit le truc fou  dans lequel elle se lance, que ce soit pénétrer dans une crypte, entrer par effraction dans le bureau du proviseur pour dérober des documents privés,…et tout un tas de choses du même genre.  Il est aussi beaucoup plus discret, et se sent parfois nul par rapport à sa meilleure amie et ses pouvoirs magiques, son audace, etc… j’ai trouvé Gus très touchant, ainsi que leur amitié entre lui et Oksa, ils se connaissent depuis l’enfance et savent tout l’un de l’autre, se soutiennent toujours quelles que soient les circonstances.  
La famille d’Oksa quant à elle est complètement déjantée.  On a Dragomira, son excentrique grand-mère, qui garde des tas de créatures totalement dingues cachées dans son grenier. Et quand je dis dingues, j’exagère à peine, des plantes qui s’évanouissent sous le stress, des poules frileuses, un Insuffisant totalement démuni de cerveau, on a même droit à une partie de baby-foot entre une Merlicoquette et un Gétorix, je vous laisse imaginer à quoi ça ressemble.^^ Mais celles que j’ai préféré sont les foldingots, des sortes d’intendants de la famille gracieuse.  Elles sont adorables et leur façon de parler est juste géniale, par exemple « Ma Jeune Gracieuse, l’interpella le Foldinguot, alerté par les propos culinaires d’Oksa.  J’ai dans la crainte que la dégustation d’un civet de lièvre soit dans l’impossibilité de réjouir votre estomac.  Mais je fais la proposition de se délecter de filets de poisson et de petit pois à proximité de treize heures.  Ah ! Le lave-vaisselle a fait la sonnerie, la préparation est aboutie ! »  C’est comme ça pendant tout le roman, et le lave-vaisselle c’est  parce qu’il fait cuir le poisson dedans ! (Quoique j’avais déjà entendu dire que ça se fait, et que c’est super bon, enfin si ce genre de nourriture peut pénétrer dans votre estomac sans dommage, parce le mien souffre d’une grave indisposition à ce type d’aliments^^).  Oksa est très proche de toute sa famille, son père très inquiet pour l’avenir de sa fille et sa mère qui apprend les origines de son mari en même temps qu’Oksa, ils veulent absolument la protéger mais le destin est déjà en marche.  Il y a aussi Léomido, le frère de Dragomira, et Abakoum, leur ami aux origines mystérieuses.  Sans oublier Naftali, Brune, Mercedica, Pierre et Jeanne Boulanger : les parents de Gus, et Tugdal, un mystérieux jeune homme pour qui Oksa a un petit faible J  On sent d’ailleurs bien que Gus n’éprouve pas une grande sympathie pour ce dernier…
Un autre personnage très important est Monsieur McGraw, leur professeur de sciences et de mathématique.  Dès le début il prend Oksa en grippe, et celle-ci va imaginer les possibilités les plus folles, un agent secret du FBI à sa recherche, un ex agent du KGB,…pourtant la vérité est bien pire que ça. 
Mais les Pollocks ont de quoi se défendre car leurs pouvoirs sont aussi dingues que leurs créatures : le Voltical, le Magnetus, le Knock-Bong, la Poluslingua,… ainsi que leurs Craches-Granok qui leur permettent de lancer des granoks, des sortes de billes qui contiennent différents effets, certains inoffensifs qui permettent de ligoter quelqu’un ou de  lui faire perdre l’esprit temporairement, mais d’autres sont aussi mortels.  
Comme je l’ai dit, j’ai beaucoup aimé le style d’écriture, ça ne nous pousse pas à lire sans s’arrêter, mais il est très « chaleureux », et avec tout l’univers que les deux auteurs ont créé, on est embarqué dans une histoire complètement folle. 

Les aventures d’Oksa m’ont donc vraiment plu, l’histoire, l’univers, les différents personnages très sympathiques, à chaque fois c’était un plaisir de pouvoir avoir mon quart d’heure d’évasion, et j’ai envie d’avoir le tome deux pour en connaître la suite, comment Oksa va évoluer, et surtout vont-ils retourner à Edifia ?  Je ne dis pas que ça a été le plus grand coup de cœur de ma vie, ni même un coup de cœur tout court, mais j’ai été agréablement surprise et je suis certaine que ce bouquin, son univers et les nombreux personnages et créatures qui s’y trouvent vont en charmer encore plus d’un!

1 commentaire:

  1. Personnellement, je n'ai vraiment pas aimé :/ Cela ne m'a pas ...Convaincue!
    Il y a des bonnes idées mais je trouve que le style d'écriture n'est pas très agréable à lire... :0 Enfin bon^^ Sinon c'est pas mal :)

    RépondreSupprimer